Posted on juin 29, 2015
Je suis devant le fleuve.
Il s’appelle le Yang-Tseu-Kiang,
en clin d’œil à Blondel…
Il nous amène vers la mer,
sans ne jamais revenir ;
pissoir de nos rêves
où l’invisible voyage…
Il apaise nos erres,
vers leurs sirènes,
ou leurs éblouissement;
vers leurs racines…
Il nous soulève le soleil,
les paravents, pareil ;
détrône nos mirages,
pareil les élèves…
Dans cet immense réservoir,
le chemin,
où chacun de nos pas
est une découverte…
À Patrick